Ça
fait longtemps…
Ça
fait longtemps que je ne te voies pas, que je marche seul dans les rues, que je
regarde la mer et la terre, le soleil et la lune, et que je suis seul dans le
silence.
Ça
fait longtemps que je te cherche, que mon âme te désirai, que mes yeux ne te voies pas, que mes mains
ne te touche pas, que mes oreilles ne t’entende pas, que ma peux ne te sentait
pas, que mes narines ne sentait pas ton parfume… Ça fait tellement longtemps…
Ça
fait longtemps que mon être te désiré, ça fait longtemps que mes penses ç’était
seulement pour toi, que ma raison faisait des projections sur ton image, que
mon cœur crée des rêves de toi, et que mon corps commencer à vivre alimente par
des rêves de toi… Ça fait tellement longtemps…
Ça
fait longtemps que je sourire pour les autres, et que en mon intérieure je
criai, que je dansai avec des autres, mais en fait, en moi, je pleurai, que je
parlai, que je marchai, que je mangeai, et que je dormais, et que mon âme se
trouvait, en fait, dans l’angoisse, dans l’abîme, dans la tristesse… ça fait
tellement longtemps…
Ça
fait longtemps que j’étais perdu dans le monde, parce-que je te perdu. Et avec
le monde j’oublie à te cherche, à te désirer plus, et j’étais de plus en plus
perdu. Mais quand je me suis réveillé, je commencer à te cherche, à t’appeler,
à te désirer, jusqu’à le point de folie… et ça fait tellement longtemps…
Ça
fait longtemps que mon âme de désiré, que tout mon être a eu soif de toi, que
mon esprit a eu besoin de toi ; ça fait tellement longtemps que je te chercher
mon bien-aimé, toi, celui que mon cœur aime…je sortais dans les rues et je
demandais les gens : ''est-ce que vous avez vu à celui que mon cœur
aime ?ʺ depuis ce temps-là, ça fait tellement longtemps…
Je
me rappelle quand je te retrouve, quand je te vu…tu étais devant moi ! ʺJe
t’avais cherché, pour tellement longtemps !ʺ tu m’as dit. Mes yeux pleins
des larmes pouvais te voir, je pouvais te contemple et adore, mes oreilles ont
été dans la joie absolue à l’écoute de tes paroles, de ta voix, ta douce voix.
Mes mains pouvais touche tes mains, et tout mon corps tressaillais d’allégresse,
mes narines était rempli de ton parfume, et moi, je le respire avec tant de
soif, mes lèvres baisser tes mains, tes pieds, tout, et moi, je tremble
d’émotion…Je t’embrassais, et t’embrassais encore, sans arrêt…
Et
maintenant, tu es devant moi, et tu seras pour toujours ! Toi, qui m’aime
le plus, toi que mon âme désire, que tout ma vie je cherchais, toi le centre de
mon existence, tu es devant moi, moi je suis dans tes bras, je me repose, après
tout cette temps de recherche, je me repose dans les bras de celui que j’aime
et qui m’aime encore plus, après tellement longtemps…Je ne rêve plus, je vis…Et
toi, tu m’aime tellement…
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